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Ero guro à la française

Ero guro à la française

 

Dernière livraison du talentueux François Gaillard, le clip Dome Sweet Dome (pour (EYR) vs Double Dragon) marie érotisme et gore, à travers les exactions d’une veuve noire humanoïde.

 

Dome Sweet Dome, collaboration entre (EYR) et le groupe Double Dragon, accouche d’un clip mis en scène par François Gaillard (coréalisateur du giallo Blackaria et du somptueux Last Caress), à l’esthétique ultra léchée et ouvertement fétichiste, qui doit beaucoup à la direction photo de Nima Rafighi (couleurs saturées : bleu profond, rouge carmin et nuances de rose), déjà en poste sur le percutant Die Die My Darling (déclaration d’amour de François Gaillard à sa muse Aurélie Godefroy, dans un rôle de kickeuse badass).

 

Le clip de Dome Sweet Dome nous offre de suivre les pas d’une dévoreuse d’hommes (au sens propre), incarnée par la sublime polonaise Stanislawa Ciesielska, qui croque fissa son amant, sitôt la partie de jambes en l’air terminée. Se transformant en créature hybride cauchemardesque, aux airs de mante religieuse (issue du boulot du magicien ès SFX David Scherer, à l’œuvre sur La nuit des horloges de Jean Rollin ou encore l’excellente anthologie horrifique The Theatre Bizarre), elle emmène le tout vers un érotisme mortifère et vénéneux, de sang et cyprine mêlés.

 

Aidé par les sonorités à consonance 80’s propres au groupe Double Dragon, François Gaillard érige un autel au cinéma de genre, où Cronenberg, Species, Clive Barker et De Palma le disputent aux films d’exploitation engouffrés par le réalisateur cinéphage, au soft porn ou à l’œuvre du mangaka Yoshiaki Kawajiri (Ninja Scroll). François nous a confié que c’était aussi une façon pour lui d’exorciser une récente histoire sentimentale douloureuse… On ose à peine imaginer ce que cette nana a dû lui faire subir…